Pour commencer, voici le résumé fait par Elodie Faiderbe de son roman La fourmi qui rêvait de devenir libellule, tome 1 :
"C'est l'histoire d'une jeune française, Chloé, qui débarque à New York pour effectuer un stage dans une société japonaise de jeux vidéo. Le rêve américain pourrait être à portée d'ailes si notre fourmi ne galérait pas autant pour trouver un logement. Mais un soir après avoir sauvé la vie d'un homme dans un bar celui-ci lui propose en retour de louer son appartement digne d'un conte de fée. Tout sourit alors à Chloé jusqu'au jour où un intrus pénètre chez elle. Un intrus pas si étranger puisqu'il n'est autre que son patron diabolique et arrogant : Nao Nakamura. Après quelques coups de poêle, quiproquos et regards assassins, une colocation épicée commence alors entre ces deux êtres qui pourraient bien avoir bien plus de choses en commun qu'ils ne le pensaient..." Passons maintenant à la lecture du résumé officiel :D "En débarquant à New York pour effectuer un stage dans une entreprise japonaise de jeux vidéo. Chloé espère laisser derrière elle son passé pour se reconstruire et repartir de zéro. Mais une cacahuète et tueuse et des coups de poêle (ou deux) plus tard rendront un nouveau départ plus... explosif qu'elle ne l'imaginait. Chloé n’a alors plus le choix, elle doit cohabiter avec le diable en personne, celui qu’elle espérait ne jamais recroiser un jour : son patron. Sombre et arrogant, Nao Nakamura l’énerve autant qu’il l’attire. Mais dans ce petit jeu de séduction, ces deux âmes malmenées par la vie pourraient trouver en l’autre bien plus qu’un simple colocataire… De la haine à l’amour, il n’y a qu’un seul battement d’ailes." Nous vous laissons maintenant découvrir trois extraits du roman ;-) Extrait 1 : "Il sourit et je vois apparaître ses dents d’une blancheur éclatante. Parfaites pour me croquer toute crue… ou toute nue, je pense qu’il préférerait. Moi aussi, d’ailleurs. Hein quoi, ça sort d’où, ça ? Non, non, ça suffit ! Son air de prédateur commence à me les briser. Enfin, si j’en avais. Mes yeux chutent à nouveau. Lui, il en a, pas de doute là-dessus. Aaaaaaaaaah ! Je me redresse pour vriller mon air de Chloé en colère sur lui en espérant effacer ce sourire narquois. — Et puis d’abord, c’est votre faute ! Les verrous, c’est pas pour les chiens ! La prochaine fois, fermez la porte ou mettez-y un chapeau pour éviter que je voie… Je le désigne de haut en bas : — Ça ! — Je tâcherai de m’en souvenir, Chloé. Le chapeau, sur la poignée ou sur mon sexe ? — Quoi ? Non, sur la poignée de la porte. Vous le faites exprès ou quoi ? — Oui, ricane-t-il. Mais vous êtes sûre de vouloir que je le fasse ? Parce que, vu votre visage, vous semblez apprécier le spectacle. — Je… non, pas du tout ! Il s’esclaffe. — Alors pourquoi êtes-vous encore là ? Enfin tant que vous y êtes, je veux bien ma serviette, là à côté de vous. Il rajoute la suite d’une voix suave qui me tord le ventre, me donnant bien malgré moi l’envie de le rejoindre. — S’il vous plaît, ma tendre et douce Chloé ?" Extrait 2 : "Mon agresseur/patron/connard tente de se relever, mais visiblement, la poêle a gagné la partie. Résigné, il roule sur le dos pour porter une main à sa tête. — La vache, merde, ça fait mal. Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Sa voix toujours aussi rauque sent la douleur et ma satisfaction. Oui, bon, je sais, je ne devrais pas. Mais finalement, je suis plutôt fière de mon coup. Putain, je devrais même avoir la médaille du meilleur employé de l’année. Je suis sûre qu’ils rêvent tous de faire ça en secret. Et je l’ai fait. Moi, la stagiaire. J’ai le réflexe de prendre quand même une voix inquiète. Après tout, je suis encore seule dans l’appartement. Avec lui. Et la poêle est derrière moi. — Euh, ça va ? Vous vous sentez comment, là ? Il me lance un regard furieux. Je tremble. Au temps pour la fierté. — Comment ? Comme quelqu’un qui a pris un coup sur la tête ! — Oh, euh, c’était deux en fait. — Deux quoi ? — Deux coups. Il crie comme un possédé : — Vous vouliez me tuer ou quoi ? Je ne réponds pas. Il interprète. — Et avec quoi vous vouliez… Il lance un regard vers mon arme. — Avec une poêle ? Sérieusement ? Une poêle ? — Vous auriez préféré un couteau ? — Au moins, ça aurait été un peu moins humiliant comme mort. — Je tâcherai de m’en souvenir. Pour la prochaine fois." Extrait 3 : " — 𝐶𝑒 𝑛’𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑟𝑖𝑒𝑛, 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑢 𝑎𝑠 𝑣𝑒́𝑐𝑢, 𝐶ℎ𝑙𝑜𝑒́. 𝐴𝑐𝑐𝑒𝑝𝑡𝑒-𝑙𝑒, 𝑓𝑎𝑖𝑠-𝑒𝑛 𝑡𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠𝑠𝑒. 𝐶̧𝑎 𝑛𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑖 𝑐’𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑜𝑖 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑖 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑑𝑒𝑠. 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒, 𝑗𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑙𝑎̀. 𝐴𝑙𝑜𝑟𝑠, 𝑚𝑎𝑙𝑚𝑒̀𝑛𝑒-𝑚𝑜𝑖, 𝑔𝑢𝑒𝑢𝑙𝑒-𝑚𝑜𝑖 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑠𝑖 𝑐̧𝑎 𝑡𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑢 𝑏𝑖𝑒𝑛, 𝑒𝑛𝑣𝑜𝑖𝑒-𝑚𝑜𝑖 𝑐ℎ𝑖𝑒𝑟, 𝑗𝑒𝑡𝑡𝑒-𝑚𝑜𝑖 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑒̂𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑠’𝑖𝑙 𝑡𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑖̂𝑡, 𝑛𝑒 𝑚𝑒 𝑓𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒, 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑖𝑛𝑜𝑛 𝑗𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖 𝑝𝑟𝑒̂𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑓𝑜𝑛𝑐𝑒𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡𝑒 𝑟𝑒𝑗𝑜𝑖𝑛𝑑𝑟𝑒. 𝐸𝑡 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑠𝑖 𝑜𝑛 𝑒𝑛 𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑒 𝑙𝑎̀ 𝑒𝑡 𝑞𝑢’𝑢𝑛 𝑗𝑜𝑢𝑟 𝑡𝑢 𝑛𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑟𝑖𝑒𝑛, 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒-𝑚𝑜𝑖 𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑢𝑖… 𝐼𝑙 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑 𝑚𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑐œ𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑖 𝑡𝑎𝑚𝑏𝑜𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑚𝑎 𝑝𝑎𝑢𝑚𝑒. — 𝐼𝑙 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑙𝑎̀ 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡𝑜𝑖." Retrouvez la chronique d'Océane sur La fourmi qui rêvait de devenir libellule tome 1 Retrouvez également Elodie Faiderbe lors de son interview Lien d'achat Amazon : https://amzn.to/34sqjIe
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