🌸 Résumé 🌸
"Maxime et Clarisse ne se connaissent pas et habitent à l’autre bout du monde l’un de l’autre. C’est donc par hasard qu’ils se font tatouer le même jour des signes tribaux. Lors d’une rencontre fortuite à Sydney, ils réalisent que lorsqu’ils se touchent, leurs poignets les brûlent intensément et laissent apparaître d’étranges chiffres. Pour les deux jeunes gens, c’est le début d’une aventure extraordinaire qui les conduira en Nouvelle-Zélande sur la trace des dieux maoris : les Atuas. Quel est le lien surnaturel qui les relie ? Comment gérer une attirance mutuelle quand on ne peut pas se toucher ? Et surtout, comment contrer la malédiction qui semble les condamner ? Une histoire d’amour fantastique où les apparences sont souvent trompeuses…" 🌸 Mon avis 🌸 Je tiens à remercier les éditions Plumes du Web pour leur confiance et pour l’envoi de ce service presse ! Sydney Lors d’un pot de départ, Maxime choisit d’accompagner son meilleur ami afin que ce dernier se fasse tatouer la puissance de son amour pour sa copine. Le lendemain, Maxime se réveille lui aussi avec un étrange tatouage sur le poignet… Paris Clarisse rêve depuis toujours de se faire tatouer, ainsi lorsque l’occasion se présente, la jeune femme n’hésite pas une seconde et saute sur l’occasion. Rien de semble les lier. Ils vivent à l’opposé l’un de l’autre : chacun d’un côté du globe. Pourtant. Une soirée et tout va changer. Un instant et leurs destins seront liés. Mais est-ce le destin ou une ancienne malédiction qui les attire irrémédiablement l’un vers l’autre ? Je vous avoue que je ne sais réellement par où commencer… La malédiction des Atuas est un roman surprenant, un brin déstabilisant. Nous y faisons la rencontre de Clarisse et Maxime qui font connaissance dans un pub de Sydney. Les deux protagonistes vont de suite se sentir attiré l’un par l’autre. A tel point, que cette attirance apparaît comme magnétique, impossible à éviter. Pourtant, une force invisible semble tout faire pour les séparer, provoquant des sortes de « décharges » électriques lorsqu’ils se touchent. Ils vont alors décider de se mettre en quête de la signification de ces décharges et vont ainsi chercher à enquêter sur fond de légendes maories ancestrales. Comme la majorité d’entre vous le sait déjà, les éditions Plumes du Web sont pour moi l’une des meilleures maisons d’éditions présente sur le marché. Je ne suis jamais déçue de leurs romans et ai très, très, souvent un coup de cœur pour leurs sorties. Mais voilà, il fallait bien que cela arrive un jour ou l’autre. La malédiction des Atuas n’est donc pas un coup de cœur. Pourtant, tout semblait si parfait : en un roman, nous avons l’opportunité de voyager, de découvrir d’autres contrées, d’en apprendre plus sur les légendes « maoris » et tout ça avec, au premier plan, une belle romance. Morgane Sheinmeer et Laure Allard-d’Adesky nous proposent là un roman extrêmement recherché. Ainsi, il me semble invraisemblable de ne pas les féliciter pour le travail titanesque qu’elles ont mené. En effet, les auteures parviennent à nous faire nous immerger complètement dans les légendes « maoris » et même à, selon moi, à les moderniser. Nous ne sommes pas dépaysés, l’intrigue se déroule à notre époque et nous permet, en plus, de découvrir des pays, que je n’ai, pour ma part, jamais eu l’occasion de découvrir : Australie, Nouvelle-Zélande, vous ne pourrez que vous émerveilliez ! En revanche, j’ai trouvé que l’histoire se déroulait bien trop vite. J’aurais aimé que l’intrigue soit plus développée, que les « combats » soient plus travaillés, plus poussés et que les personnes se dévoilent beaucoup plus séparément qu’ensemble. Eh oui, selon moi, le plus gros point négatif est la romance. J’ai trouvé qu’elle était bien trop rapide. On a ainsi parfois l’impression qu’en moins d’une semaine, Clarisse et Maxime tombent amoureux, vivent ensemble et sont prêts à mourir l’un pour l’autre. Cependant, je pense avoir une piste, un élément de réponse, concernant la rapidité de l’évolution de leurs sentiments. Effectivement, outre le fait que ce roman ne fait que 260 pages, il ne faut pas oublier que les lecteurs sont plongés au cœur de légendes. Ainsi, la « vivacité » des sentiments qu’ont les deux protagonistes peut s’expliquer par cela : leur attirance étant fruit d’une légende et même d’une malédiction, cela en peut qu’exacerber leurs sensations et donc ce qu’ils ressentent. De cette façon, une fois La Malédiction des Atuas terminée, j’ai beaucoup réfléchi à ce propos et c’est ce qui me semble le plus logique, le plus vraisemblable pour expliquer la puissance de leurs sentiments. Mais pour en être sûr, il faudra poser la question aux auteurs 😉 En outre, il me semble aussi important de souligner la plume des auteures, à la fois fluide et addictive. Si ce roman se lit si rapidement, c’est grâce à leur talent d’écriture qui nous permet de voyager et de nous plonger au cœur d’une histoire intrigante. Un roman étonnant destiné aux amateurs de légendes et de romance qui n’aura toutefois pas su me convaincre autant que je l’aurais souhaité. 🌸 Extrait 🌸 "Parce que quoi qu’il arrive, nous sommes l’espoir. Nous sommes l’amour. Nous sommes l’avenir. " 🌸 Ma note 🌸 🌟🌟🌟,5/5 🌸 Lien d'achat Amazon 🌸
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